La justice a tranché : Carles Puigdemont reste concerné par un mandat d’arrêt. Un mois après l’adoption de la loi d’amnistie des indépendantistes catalans, le Tribunal suprême espagnol a refusé d’appliquer la mesure au dirigeant exilé en Belgique. Ce mandat d’arrêt court depuis la tentative de sécession de la Catalogne en 2017.Le juge Pablo Llarena a rendu "un arrêt dans lequel il déclare l’amnistie non applicable au délit de détournement de fonds dans le dossier visant l’ancien président de la Generalitat catalane Carles Puigdemont", a indiqué la plus haute instance judiciaire du pays.Coup de tonnerreL’arrêt du Tribunal suprême fait l’effet