"Le président n’a pas profité de l’occasion pour se ranger du côté des femmes. Nous mettons en œuvre le plan B", a lancé, vendredi 29 mars, le Premier ministre polonais et ancien président du Conseil européen Donald Tusk. Un peu plus tôt, le président conservateur, Andrzej Duda, annonçait mettre son veto à la loi visant à libéraliser l’accès à la pilule du lendemain.Voté en février, au Parlement, par 244 voix contre 196, le texte prévoit d’ouvrir l’accès sans prescription à la pilule du lendemain, "à compter de l’âge de 15 ans". Car depuis 2017, il n’est, en Pologne, accessible que