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“Ce gros fragile de François.” Tels sont les mots exacts utilisés par Élisabeth Borne ce matin, lors d’une interview sans langue de bois accordée à France Inter. “Quand on est Premier ministre, il faut savoir se faire respecter et montrer aux députés et aux Français qui est le patron”, a martelé l’ex-locataire de Matignon, en se grattant l’entrejambe de façon ostentatoire.

Une autorité indispensable qu’Élisabeth Borne avait imposée de plusieurs façons tout au long de son mandat : “Le recours au 49.3, à l’origine, était légitime : c’était vraiment dans le but de faire adopter des textes indispensables mais controversés. Bon, c’est vrai qu’au bout du douzième ou treizième recours, j’ai un peu perdu le contrôle. Je crois qu’à la fin, je l’utilisais même quand tout le monde était d’accord”, confesse l’ancienne Première ministre avant de roter bruyamment au micro de Léa Salamé.

Quand la journaliste lui demande si elle éprouve des regrets, Élisabeth Borne avoue : “Oui, vous vous en doutez. J’étais à cinq recours du record de Michel Rocard, qui a utilisé le 49.3 à vingt-huit reprises. Ça restera mon plus gros échec.”

Interrogée sur la politique globale de celui qu’elle surnomme “François Babtou”, Élisabeth Borne a simplement indiqué que, s’il voulait conserver sa place, il devrait trouver un moyen de se faire respecter, “en rétablissant la peine de mort ou en supprimant le droit de vote des femmes, par exemple.”
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Author : La Rédaction

Publish date : 2025-02-10 13:00:00

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