Le Gorafi

Pour profiter de sa notoriété, Léon Marchand vend l’eau de son pédiluve



La nouvelle star du sport Français n’a pas tardé à profiter de sa toute nouvelle célébrité. En effet, Léon Marchand a annoncé sur ses réseaux sociaux qu’il vendait désormais l’eau de son pédiluve. Une décision commentée par son agent : « Léon est de la génération des influenceuses qui vendent l’eau de leur bain. En plus d’être un nageur hors pair, c’est aussi un communicant hors du commun, son idée nous a bluffés et je ne vous cache pas que c’est déjà un carton ! ».

En effet, de nombreux acheteurs et acheteuses louent déjà la qualité de l’eau du pédiluve de Léon Marchand : « J’en ai mis dans un brumisateur et je m’en asperge sur le visage dès que j’ai un coup de chaud ! Je me sens rafraîchi et surtout plus confiant ! Il y a la force de Léon dans cette eau ! » s’exclame Romain, qui s’est offert pas moins de 50 ml de cette eau précieuse.

Cette eau a même été vendue en boutique, dans un pop-up store éphémère dans le centre de Paris, créant une émeute. Lola, fan de Léon Marchand nous raconte : « La sécurité était débordée ! Mais j’ai réussi à acheter un flacon que j’utilise comme eau de toilettes. Ça sent le chlore et la victoire. Ça sent Léon quoi ! » rigole-t-elle. Florian, quant à lui, a fait des centaines de milliers de vues sur Tik Tok après avoir posté une vidéo de lui en train de boire cul-sec l’eau tant convoitée : « J’ai passé la nuit aux toilettes, j’ai souffert, mais comme Léon j’ai su surmonter la douleur ! Je crois que je mérite une médaille ! »
L’article Pour profiter de sa notoriété, Léon Marchand vend l’eau de son pédiluve est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.



Source link : https://www.legorafi.fr/2024/08/28/pour-profiter-de-sa-notoriete-leon-marchand-vend-leau-de-son-pediluve/

Author : La Rédaction

Publish date : 2024-08-28 10:11:29

Copyright for syndicated content belongs to the linked Source.

.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .... . . * . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - . . . . .